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En ce bas monde, il n’y a qu’un seul dieu, et ce dieu, c’est la Croissance. Etes-vous prêt à mourir pour Lui ?
L’écologie, c’est bien sympa mais, il faut bien reconnaître, ça ne marche jamais (soupir). Heureusement, on rigole bien.
Polluer la terre, c’est bien ; polluer l’espace, c’est encore mieux. Et puis ça peut servir, on ne sait jamais.
Saviez-vous qu’en protégeant une espèce menacée, on la met encore plus en danger ? Pas simple.
Vous avez enlevé la viande de vos menus pour essayer de sauver la planète ? Pfff, laissez tomber, ça ne sert à rien…
Bridget vous révèle une vieille technique de grand-mère pour sortir de notre « système technicien » devenu fou.
Les écologistes sont-ils vraiment les êtres doux et pacifiques que l’on décrit ? Pas sûr. FUCK DA SYSTEEEEEM !
Tout le monde critique l’obsolescence programmée et pourtant, que ferait-on sans elle ?
Hé ben, ma bonne dame, quelque chose me dit que les discussions sur la météo ont encore de beaux jours devant elles.
Enfin, quand je dis de beaux jours, c’est une expression, hein !
Les écologistes, franchement, c’est pas vraiment des boute-en-train, et c’est bien dommage car, pourtant, les occasions de rire ne manquent pas.
Pour assouvir notre goût pour la viande, on dépèce la planète. Heureusement, Bridget a une solution pour sauver Nénette sans se priver.
Dans un monde qui change, comment intégrer l’écologie à l’éducation des enfants ?
La télévision, c’est gé-nial : des études le prouvent, ça rend les humains gros et cons. C’est d’ailleurs pour ça que Bridget l’adore : enfin une vraie catastrophe de santé publique.
Bridget n’est pas une buveuse d’eau et elle a bien raison, quand on voit ce qu’il y a dedans : eau secours !
Ce n’est pas parce que c’est la crise qu’on est obligé de se contenter d’un bilan carbone de pauvre. Bridget vous donne quelques astuces pas chères pour polluer comme de vrais riches.
Si vous croyez que, plus tard, nos enfants vont nous respecter, vous vous trompez. Tout se perd, l’éducation, le sens des valeurs, bref : y’a plus de jeunesse.
C’est à se demander s’il ne leur faudrait pas une bonne catastrophe, tiens !
Ça leur apprendrait.
Les espèces animales, c’est comme les salariés : elles n’ont qu’à s’adapter ! Ou alors, faudra pas qu’elles s’étonnent si elles disparaissent. Et c’est valable pour les requins.
Dans la grande lutte à mort qui l’oppose au poisson, l’homme est proche de la victoire désormais. Alors ne lâchons rien et gardons la pêche, la surpêche, même.
Bridget rend hommage à l’animal totem de notre société de consommation et à son étrange cri qui résonne jusqu’au sommet de l’Etat.
Bridget revient de Fukushima et, franchement, elle n’a rien noté de particulier, à part un peu de radioactivité de rien du tout bref, pas de quoi en faire tout un plat.
Horreur : Bridget vient de se rendre compte que l’écologie n’est qu’une vulgaire secte ! Elle dénonce.
Jusqu’ici, la Terre était un établissement de standing mais, depuis quelques années, la qualité du service et des plats commence à se détériorer. Sans parler de la fréquentation !
Votre note de gaz est trop élevée ? Ce n’est pas le cas pour tout le monde : Bridget vous montre même des endroits où l’on en brûle des milliards de m3 uniquement pour s’en débarrasser. Prout.
La compétition, Bridget adore ça : surtout quand ça finit mal. Son credo : « Rien ne sert de courir, il faut mourir à point. »
« Ce n’est pas parce que la catastrophe est proche qu’il faut se laisser abattre ».
Pas besoin de vous foutre de la gueule des écologistes : on peut très bien le faire nous-même.