Les marques sont de plus en plus nombreuses à scruter le cerveau de leurs clients. A l’aide d’IRM ou d’électroencéphalogramme, elles se livrent à des études sur le subconscient pour pousser à acheter. C’est le «neuromarketing», une pratique interdite.
Une chaine de restauration rapide a notamment expérimenté des odeurs artificielles sur des cerveaux de consommateurs. Un géant de l’industrie cosmétique, un service public et le secteur bancaire sont eux-aussi démasqués.